Dante Walker

Identité :

Nom : Walker
Prénom : Dante
Age : 16 printemps
Nationalité : Américain
Sexe : Masculin
Sexualité : Bisexuelle
Classe souhaitée : Première


Divers

Physique : ( 7 lignes minimums ) Dante est de taille normale voir petite... du moins pour les membres de sa famille. Du haut de ses 1m85, il a souvent été la risée de ses frères et soeurs qui atteignaient presque 2m, vive la campagne canadienne. Dante est blond avec les racines marrons, héritage maternelle sans doute. Il a de profonds yeux marrons, qu'il est le seul à avoir dans toutes sa famille. En d'autre termes, Dante est marginal à toute sa famille, mais ceci n'a rien à voir avec son physique donc passons.

Dante "cultive" son corps, les nombreuses heures passée à s'entraîner et à suer des litres n'ont pas été vaines, du moins pas pour les 4 rangées d'abodominaux qu'il exibe fièrement à chaque moment que l'occasion se présente. Il possède de nombreuses cicatrices dans le dos, et d'autres aux poignets signes de maltraitances diverses et variées. Tatouages et piercings ne font pas partie des choses qu'il veux faire et/ou avoir, cela abîmeraient son corps.

Notre charmant jeune homme est passé de styles vestimentaires à d'autres, à une vitesse plus qu'hallucinante... c'est que ça paye d'être mannequin. Il est devenu gothique puis a adopté le style d'Harlem pour se mettre dans la peau de la mode fashion japonaise. (Je dois avouer que c'est le genre de vêtements qui lui vont le mieux) Cependant, il aime s'habiller comme bon lui semble il ne faudra pas s'étonner s'il change du jour au lendemain.

Caractère : ( 7 lignes minimums ) Dante est manipulateur et colérique, il n'hésitera pas à user de son physique pour arriver à ses fins. Les nombreuses insultes et discriminations qu'il a subit l'ont rendues plus fort mais plus fragile, avec de la chance vous pourez réussir à vous l'apropriez pendant quelques instants. Il paraît que c'est très intéressant de le voir en pleine tourmente intérieure.

Dans un couple, Dante domine. Il est hors de question pour lui de subir les souhaits et désirs de son ou sa partenaire. En restant dans les relations amoureuses, Dante à des fantasmes assez "étranges" du moins ils le seront pour la personne qui les subit. Il faut toujours qu'il y ai un revers à la médaille, un charmant jeune homme sain d'esprit c'est rare (voir inexistant...)

Notre cher Dante est, comme si c'était pas suffisant, lunatique à souhait passant de la colère à la gentiellesse, de l'amour à la haine. C'est surement pour cela qu'il a souvent été haït. Mais bon, il en juste un peu rien à faire de nos jours, il a grandit et est devenu "invexable". Dante est quelqu'un de stoïque, et il ne montrera jamais ses sentiments en public. (c'est bien trop honteux pour sa "noble" personne.)

Bien qu'il n'est pas eu une vie simple, n'allait pas croire qu'il est en manque d'affection ou autre car il pourrait le prendre très mal c'est probablement pourquoi il ne parle jamais de son passé ou de sa famille. Il est très silencieux, et je-m'en-foutiste à souhait, adepte du "cause toujours tu m'intéresses" il fait en sorte de ne pas trop se faire remarquer en public aussi bien que dans la vie privée. En fait, il rêverait de vivre paisiblement dans une maison au bord de la mer (Il a trop regardé de dessins-animés quand il était jeune je crois...) mais c'est plutôt mal parti.

Histoire : ( 9 lignes minimums )
Un cri fend l'air, mon cri. Mon cri qui déchire la nuit, cette nuit du 24 Décembre. Je ne me souvient plus en détail de cette journée de bonheur pour mes deux parents et le reste de ma famille. Mon seul souvenir doit être le doux sourire de ma mère et les mains rugueuses de mon père... ou peut-être celles de mon grand-frère difficile à dire, j'ai la mémoire qui flanche sûrement un signe des années qui passent et que ma mémoire s'efface.
Suivons un ordre chronologique, voulez-vous. Comme je vous le disait plus haut, je suis née un 24 Décembre dans un hopital de la campagne canadienne. Une journée particulièrement froide d'après les dires de ma soeur ainée, mais ce n'est pas ça qui décourage les gens du nord... bien au contraire. L'accouchement s'est déroulé sans difficultée particulière (et on dit "merci" à la péridurale), après tout être le sixième enfant ça permet à la mère d'être préparé pour la énième fois. Je ne pourrais pas vous en dire plus, il m'est impossible de me souvenir de cette journée et de la majeur partie qui suivirent, je me fais vieux (Oui à 16 ans, notre cher Dante se croit vieux. La mi-trentaine quoi'.) et ma mémoire est floue. Alors fesons un saut dans le temps.
Six ans après ma naissance, je me retrouve devant un gâteau à fêter mon anniversaire mais également Noël, n'allait pas croire que les cadeaux sont doublés dans ce cas-ci, bien au contraire je dirais plus qu'ils diminuent de deux. Une famille heureuse rassemblée autour d'une table et rit gaiement le soir de Noël, de quoi prendre une photo et dire "Voici le parfait exemple d'une famille convivial" et pourtant, à six ans et du haut de mes yeux marrons, je suis "l'anomalie familiale" et je connaît la dureté de la vie. Enfant non-désiré d'un adultère passager de ma mère, mon père n'a pris conscience des faits que lorsque la couleur de mes yeux et cheveux a migrer vers un maron chocolat. Une chose totalement impossible puisque dans la famille, ils étaient tous grands, blonds aux yeux bleus. Le parfait cliché décrit dans les opéras de Wagner, le fantasme de l'allemagne nazie; enfin bref je m'égare.
Je connaissait mon père sous deux traits, comme le jour et la nuit, en présence de ma mère j'étais son favori, son chouchou et quand ma mère était absente je connaîssait surtout la douleur des divers objets qu'il me jetait dessus et la froideur de ses mains sur mes joues. Mes frères et soeurs n'ont jamais réagit, sans doute trop occupé dans leur "travaux" respectifs. Alors j'ai appris à me débrouiller seul, enfin dans les limites du possibles et à ne pas hurler ni pleurer dans les moments où il aurait fallu que je le fasse.
Puis les jours, puis les mois ont passés et ma mère nous a laissé des suites d'un cancer foudroyant, j'ai beaucoup pleuré ce jour-là, suffisament pour arrêter de pleurer. Du moins j'ose le croire et l'espérer. Quoi qu'il en soit, une fois ma mère aux cieux j'ai commencé à vivre dans l'ombre de mes frères et soeurs jusqu'a ce que mon père decide sous un coup de tête de me mettre en orphelinat. L'année de mes 10 ans si je me rappelle bien, c'est que je n'aime pas parler de ça alors j'oublie.
Ma vie dans cette orphelinat était le paradis à côté de celle vécue avec mon ivrogne de père, la mère supérieure étais l'exemple même de la bonté bien que les années se soit marqué sur son visage par de profondes rides, malgré ça je me souvient encore de son tendre sourire qui stagnait sur son visage. Toujours seul et sans ami, cette situation ne s'arrangea guère là-bas. Bien que cela me déplaise, je me suis réfugié dans les livres afin de créer ma bulle pour m'échapper de leur cris et plaintes. C'est que moi contrairement à la majorité d'entre eux j'avais connut la chaleur d'un câlin maternel. De temps à autre quelque larmes glissaient le long de mes joues et je passaient mon temps à chercher des excuses bidons et sans interêt, alors que la mort de mère me pesait sur les épaules. J'ai toujours cru être la raison pour laquelle ma mère s'est laissé divagué à l'abandon... peut-etre avais-je raison ou peut-être avais-je tort, je n'en saurais jamais rien maintenant qu'elle n'est plus parmis nous.
Trois ans après mon entrée au pensionnat, un couple de jeune anglais arriva à la recherche d'un "héritier" comme il disait si bien. Inutile de vous dire que j'ai usé au maximum de mon charme pour les avoir à la bonne. Ce qui a effectivement fonctionné, et c'est depuis ce jour que j'ai pris goût à la manipulation. Donc, mes nouveaux parents et moi-même sommes retournés en Angleterre, ce qui fut pour moi la première fois que je quittais les terres désertes et gelées de la campagne canadienne, et plus précisement à Londres, d'un quartier "bon-chic bon-genre" et très uppé de la ville. Mon accent, ne plaisait pas à mes parents adoptifs alors j'ai du faire mon maximum pour qu'il disparaisse le plus possible... mais il reste toujours quelque traces infimes de mon origine canadienne. Ma vie était paisible à Londres, de haut de mes 14 ans je ne me souciait pas vraiment des filles et ce qui m'intéressais le plus étais de faire les 400 coups avec Wiliam mon seul et unique meilleur ami (qui fut mon premier amant également). Cependant Willam était accro... accro à des produits tous plus dangereux les uns que les autres, que voulez-vous j'ai le chic pour me trouver des amis très sérieux. William, sous l'emprise de divers médicaments et/ou drogues commença à me faire des avances et moi-même sous l'emprise de l'alcool repondait à ses avances en le provoquant de plus belle. Notre petit jeu de seduction dura 5 à 6 mois jusqu'à ce que je ne puisse plus me retenir et.... *censuré*. Ce fut la première fois, bien qu'elle soit avec un garçon j'étais fier mais pas amoureux. Quelque jours après notre petit... "délire" William est mort d'un choc cérébral. A cette période je me sentais comme Rémi (Rémi sans famille) la quasi-totalité des personnes qui m'était chère décedaient les unes après les autres, et j'ai pleuré de nouveau, longtemps en m'enfermant dans ma chambre. Cependant je n'ai jamais pensé au suicide, bien trop lâche pour ça et surtout beaucoup de peur, je ne voulait pas abandonner ce monde avant même d'avoir pu montrer une raison à mon père biologique d'être fier de moi, c'est bien la seule chose que j'aimerais faire avant de mourir et qu'il meurre.
J'ai continué mon collège, doucement et tranquillement finissant mes études normalement et sans encombre. Mon année de seconde fut... normale, amenant toujours des résultats ni trop exceptionnel ni trop "nul" à ma famille. Et à la fin de cette même seconde, mon père décida de me changer d'école, trouvant que le niveau n'était pas assez élévé. Il décida de me placer ici.


Autre ?
Il est hémophobe, devant du sang il réagit mal... très mal et fait de nombreuses crises de nerfs toute plus violentes les unes que les autres.



*Validé par Yunii'*

Bienvenuue =).
Je valide le code qui est bon, et te souhaite bonne chance pour la suite de ta fiche. ^o^

Bienv'nue =)

Bienvenuuue ^^

Hello !
T'as vu Yuni, la bannière en forme de château elle tue! Même Dante le dit :p

U_U.
L'a juste dit que c'était original, nuance ~ xD.

taggle spéce d'esprit contradictoire --"

Pourquoi cette fiche n'est pas validée en faite ?

L'histoire n'est pas encore finie =)

Fufuh', lit avant de causer. u_u.
Bref', stop au flood.

J'ai mis un peu de temps à finir mais j'ai finit èwé
C'est surtout l'histoire qui m'a un peu beaucoup embêté x3

Applaudissons Dante ! \o/

*Clap clap*
(Ok ma gueule =D)

Bravooo, tu as réussiiit! *CLAP CLAP*
xD.
Maggle too' ~ On va la faire fuir u_u.
je valide =P